Après la dispute au bureau [PV Cuddy]

House regarda toujours Cuddy. Il était toujours énervé et il regarda cette dernière désespérée par ses propos. Il la vit partir et House s’en voulut un peu de l’avoir traité comme ça. Mais ces pilules, c’est sacré alors pourquoi elle n’y couperait pas à ses énervements répétés. En la voyant sortir du bureau, il ce dit qu’il y avait été un peu fort et que le coup du caf n’était peut-être pas une bonne chose, amis il savait aussi et surtout il venait de prendre conscience, que quand il n’avait pas ses pilules, il avait vraiment besoin de s’énerver sur une personne. Mais cette fois il avait été trop loin avec Cuddy, alors, il décida d’aller la suivre. Il partit donc du bureau et arriva dans les vestiaires.

Il ne frappa pas à la porte et entra dans les vestiaires des femmes et vit Cuddy qui le fixait, sachant très bien qu’il l’avait suivit et il ferma la porte derrière lui à clé. Non pas pour l’empêcher de sortir, mais pour que personne d’autres ne rentre et qu’ils soient seuls pour parler.

Et comme elle l'avait prédit, il l'avait suivit à la trace. A peine quelques secondes après qu'elle n'ait franchit le seuil de la porte des vestiaires des femmes il déboula sans crier gare (mais l'avait-il jamais fait?) et elle se retourna et le fixa du regard, mais sur les hanches, toujours furieuse contre lui.

- On m'a vu entrer vous savez.

Dit-elle alors avançant alors vers son casier, ses talons cognant le sol dans un bruit métallique du au carrelage du sol.

- Et même en m'enfermant ici avec vous je ne céderais pas.

Elle fit la combinaison de son cadenas et ouvrit ensuite la porte de son casier pour y checher un sac en contrebas où elle avait des vêtements de rechange, elle sortit le sac et le déposa sur un banc et regarda vers House toujours planté devant la porte.
Il était aller trop loin oui, et il lui faudrait un bout de temps avant de pouvoir oublier l'incident et considérer le fait d'à nouveau lui parler comme à un ami. Celà la chagrinait, mais elle n'avait pas le choix, son status au sein de l'hopital la forcait à prendre ce genre de décision aussi coutante lui soit-elle.

House la regarda et il avait un air triste, puis à sa remarque, il reprit son sérieux et ne dit rien, il la regarda sortir des affaires et il avança vers elle. Il savait qu’il avait été trop loin et qu’il ne pourrait faire des blagues pendant au moins trois jours, avant qu’elle arrête de lui faire la tête. Il était face à elle et la fixa dans les yeux. Pour une fois son regard était sincère et il avait vraiment l’air touché par tout ce qui venait de ce passer. Il connaissait Cuddy depuis des années et pendant un temps ils s’étaient perdu mais quand elle lui proposa de venir travailler dans son hôpital, il avait été content, du fait qu’il pourrait avoir un bon poste et ensuite, parce qu’il était près d’elle.

Il se tenait face à elle, mais sans rien dire, ne faisant que la fixer, avec cet air triste, que pour la première fois il montrait à quelqu’un et de plus, une personne qui lui ait chère, même s’il ne le dit jamais et qu’il lui mène la vie dure.

Elle respirait de façon rapide et profonde, essayant de récupérer son calme. Elle le regarda approché sans rien dire, s'attendant à tout avec lui, on était jamais trop prudent, surtout qu'il pouvait adopter un comportement des plus vils, comme précédemment illustré dans son burea, en y repensant elle devrait aussi faire nettoyer sa moquette, elle pourrait lui mettre la note en retenue de salaire tiens!
Mais bizarrement, prévoyant une réaction haineuse et comme souvent guidée par son manque, il agit de façon totalement inverse, ce qui la déstabilisa le temps d'une seconde, pourquoi ne hurlait-il pas? Il avait l'air attristé par ce qui venait de se passer, attitude qu'il n'avait pas encore il y a une minute à peine, quelle mouche avait bien pu le piquer entre temps pour opérer un tel changement dans cette bête de rudesse qui se trouvait là devant elle, totalement métamorphsoée. Elle ne trouvait pas de réponses alors au lieu de le questionner, elle détourna tout simplement le regard et ouvrit alors son sac de change.

House regardait toujours Cuddy avec cet air d’homme triste. C’est vrai que son comportement était étrange, mais il avait des sentiments pour Lisa autre que professionnelle, mais ça il ne le lui dirait pas, ou alors, s’il devait le faire, il attendrait qu’elle fasse le premier pas et apparemment, ce n’était pas près d’arriver. Alors, il sortit de ses pensées et la fixa encore plus qu’avant et il la vit prendre ses affaires, alors il se mit sur ses appuis et se racla la gorge pour qu’elle lève la têt et le regarde.

- Pour tout à l’heure, euh, je pardon pour le café.

Là, il n’était vraiment pas normal et Cuddy allait forcément lui faire une remarque, mais il s’en fichait il ne voulait pas être en froid, avec l a seule femme qu’il respecte plus que tout au monde, après sa mère bien sûr, mais une femme qu’il respecte beaucoup et avec qui il pourrait vivre des choses fortes, malgré leurs caractères bien trempés.

Prenez deux têtes de mules additionez-les avec une bonne dose de sentiments refoulés et qu'obtenez-vous? La relation la plus ambigue possible entre deux personnes bossant au même endroit et ayant un conflit de hiérarchie. House et Cuddy, toute une histoire, ou plutôt brides d'histoires sans suite.
Il s'excusait? Avait-elle rêvé? Subissait-elle une halucination auditive? Le grand House s'excusait bel et bien d'avoir dépasser les bornes. Et même si elle restait furieuse à son égard, le fait qu'il puisse enfin reconnaître avoir dépasser les bornes radoucit son énervement. Elle placa son bras droit sur sa hanche, main fermée et le regarda de biais.

- Tournez-vous!

Façon en langauge Huddy de dire "ça vaje vous pardonne". Elle attendit donc qu'il s'exécute, voyant qu'il ne semblait pas décider à le faire, elle penchant la tête sur le côté tout en le fixant toujours du regard. Elle aurait pu le foutre à la porte oui, le forcer à quitter la pièce mais aller savoir pourquoi elle ne l'avait pas fait un final, inconsciemment quelque chose se tramait dans son esprit, devinez seulement quoi...

House se racla la gorge une nouvelle fois, il avait eu du mal à faire sortir ces mots, mais il espérait qu’elle lui pardonnerait au moins un peu après tout, il avait fait un grand pas, alors pourquoi pas lui faire une demi confiance à nouveau. Puis, il regarda Cuddy et l’écouta parler. Puis, il entendit ses propos et ne se tourna pas. Il ne savait pas s’il devait se laisser aller pour l’embrasser ou s’il devait lui obéir pour une foi et la laisser s’habiller sans qu’il regarde. Il préférait la seconde solution, mais la première il l’avait tellement voulut depuis si longtemps, qu’il ne put s’empêcher de s’approcher d’elle. Il se mit face à elle et posa une main sur sa joue. Mais que lui arrivait-il, il ne pouvait plus se contrôler, alors il l’embrassa tendrement. Un baiser plein d’émotions, il n’avait jamais embrassé comme ça, alors pourquoi avec Cuddy ? Sûrement, parce qu’elle il l’aime vraiment.

Puis il reprit sa respiration et se décolla d’elle, il se rendit compte de son geste et prit peur tout d’un coup, il passa une main sur son visage, comme pour se remettre dans la réalité et il fixa Cuddy, puis il partit vers la porte, pour s’enfuir comme il le fait, mais il espérait qu’elle le retiendrait.

Ah décidemment, à son âge encore agir comme un gamin à qui on refusait quelque chose et qui faisait le forcing en ne répondant à aucun ordre. Elle lui lanca un autre de ses regards noirs, inutile peut-être, car à force il connaissait ce regard là pour le voir minimum une fois dans la journée depuis qu'il bossait ici, mais qui n'en restait pas moins là. Puis sans trop avoir le temps de dire ou faire quoique ce soit d'autre qu'un regard inquisiteur et surpris, elle se figea sur place le voyant lui caresser la joue et approcher de plus en plus jusqu'à fatalement arrivé contre ses lèvres.
Et là, le noir total dans son esprit, plus de mots ni de heurs à son encontre, plus de formulaires de fournitures à rendre à la comptabilité, plus d'horloge minutant le temps, plus rien d'autres ne venait à son esprit que de savourer ce bref moment sans aucune autre pensée que de fermer les yeux et de ne plus bouger.
Analyser ça, vite, le calme régnant dans son cerveau une seconde au paravant fit place soudainement à la tempête de questions laissées de côté, eonfoncées au plus profond d'elle, pourquoi? Pourquoi l'avait-il embrassé, pourquoi maintenant, à quoi celà rimait-il, une autre ruse pour qu'elle le lâche et qu'il obtienne sa dose? Rha bon sang pourquoi ce baiser ne pouvait-il pas simplement être un baiser?
Et bien sûr, comme le dit l'adage, même les meilleures choses avaient une fin, il recula, elle resta une seconde encore les yeus fermés avant de les rouvrir pour déjà voir qu'il semblait regretter ce qui venait de se passer. Et comme toujours, il partait. Non, elle voulait savoir, il ne s'échaperait pas cette fois. Elle accéléra le pas et vint se coller devant la porte, l'empachant de sortir.

- Je crois avoir le droit d'attendre une explication sur ce que vous venez de faire.

House allait le plus vite qu’il pouvait à la porte mais évidemment, pas assez puisque Cuddy se colla contre cette porte, cette chose qui lui aurait permit de reprendre ses esprits avant de devoir s’expliquer avec elle, amis il n’eu pas le temps. Il se racla une nouvelle fois la gorge et écouta les propos de Cuddy. Que répondre à ça, parce que je suis amoureux de vous depuis toujours ? Non, il ne le dirait jamais, malgré que ça soit la vérité, il ne le dirait pas. Mais il savait qu’il ne dirait pas non qu’il avait ça pour avoir des pilules, non ce serait la blesser encore plus et il n’est pas si sadique que ça. Il aime jouer avec les gens, mais il ne triche jamais sur les sentiments, ça il n’y arrive pas et encore moins face à Lisa. Alors, il la fixa dans les yeux et ne sut que dire, face à elle. Puis, il ce décida enfin à parler, mais pas à cœur ouvert, il n’était pas encore près à ça.

- Je vous ais embrassé, y a rien de plus simple.

Il essayait d’être sarcastique, mais il se rendit bien compte qu’il n’y était pas parvenu, alors il se tourna et partit vers une chaise qui était dans la salle et il s’y assit dessus, sans dire autre chose. Il était tête baissé et ce maudissant d’être un homme qui ne peut parler à personne de ce qu’il ressent, il est comme ça, mais peut-être qu’avec du temps et la patience que Cuddy voudra bien lui accorder, il y arriverait qui sait.

Et oui, bien que de constitution plus robuste qu'elle, forcément il était un homme, elle avait l'avantage d'être en pleine possession de ses deux jambes. Elle croisa les bras, et le fixa, la bouche légèrement ouverte, un sourcil haussé attendant donc qu'il s'explique. Rien de plus? Au moins ça avait eut le mérite d'être clair. Elle poussa un soupir et le regarda partir s'asseoir.

- Merci j'avais cru remarqué que quelque chose me collait au visage tout d'un coup.

Boutade pout boutade, elle aussi pouvait user de sarcasme quand elle le voulait. Elle se décolla de la porte et retourna au banc pour prendre ses affaires dans son sac, déposant sa jupe sur l'étagère de son casier, et posant la chemise sur la porte de ce dernier, les douches étaient dans une pièce séparée, et même si elle le pnesait assez gêné pour ne pas faire l'idiot, l'idée qu'il l'y enferme ne la réjouissait qu'à moitié, aussi décida-t-elle de se changer en prenant pour paravent la porte de son casier. Elle se mit de dos et commença par retirer la veste de son tailleut pour ensuite déboutonner le chemisier qui se trouvait en dessous. Elle avait devoir payer une fortune au teinturier pour débarasser ce tissu des traces de son élan de colère, elle retira le tout en soupirant, s'essuya le ventre légèrement mouillé à force que le tissu s'empreigne du café.

House baissa toujours la tête, il n’arrivait pas à la fixer dans les yeux, c’était bien la première fois que ça lui arrivait. La première qu’il ressentait une chose aussi fort, un sentiment étrange, qu’il n’avait jamais eu pour personne et même pas Stacy. En pensant au mot amoureux, il ferma les yeux et les ré ouvrit aussi vite, il ne pouvait être cette chose, ce mot, il ne pouvait pas, pas avec Cuddy. Il a un profond respect pour elle et coucher avec elle, il le pourrait mais aller plus loin, il savait qu’il la ferrait souffrir, alors il sortit de ses pensées, en l’entendant parler. A ses propos, il ne pût s’empêcher d’avoir un sourire.

Il la regarda ensuite partir vers son casier et prendre ses vêtements, quand il la vit enlever son tailleur, il baissa la tête, même s’il était amoureux d’elle, il ne pouvait la regarder ainsi, mais pourtant, quand il vit le chemisier qu’elle tenait à la main, là il ne put s’empêcher de la fixer. Ce corps, une chose qu’il ne connaissait pas chez Lisa. Il la fixait avec intensité et il se leva alors de sa chaise pour aller vers elle. Il ne fit pas trop de bruit, pour qu’elle ne l’entende pas arriver et il se stoppa juste derrière elle. Il la regarda s’essuyer le ventre et il eu un léger sourire, puis, il se rapprocha d’elle et resta la regarder dans cette positon. Elle n’avait plus que son soutien gorge, et House remarqua qu’il était d’ailleurs, tout à fait joli. Il esquissa un sourire et reprit son sérieux, mais ne tenta rien envers elle, il resta juste là à la contempler.

Après s'être essuyé le ventre elle voulu se retournée pour attraper son chemisier neuf et sursauta en le voyant planqué derrière la porte, à onstensiblement la reluquer. Elle attrapa sa chemise et la colla contre sa poitrine, retrouvant ce regard noir si caractéristique qu'elle pouvait avoir quand il la mettait en rogne.

- Vous n'avez pas pu vous en empêcher! Pour quelqu'un qui embrasse sans raison vous semblez bien curieux, depuis combien de temps la dernière call-girl n'est pas venu ou vous avez aussi fait fuire celle-ci?

Le ton montait à nouveau, mais c'était plus parce que pour quelqu'un qui n'en avait rien à faire il semblait pourtant des plus intéressés soudainement. Et puis quoi à la fin, elle n'était pas en sucre, si elle lui avait enu tête toutes ces années en le supportant dans les moment difficiles ce n'était sans doute pas sans raison, elle était indépendante et forte, pourquoi se coltiner un tel poids si ne se cachait pas derrière quelque chose de plus profond?
Le voyant rester statique, elle lui saisit l'épaule et le forca à se tourner le temps qu'elle puisse enfiler ce nouveau chemisier, la jupe attendrait tant pis.

House vit le visage de Cuddy, qui voulait lui dire qu’il n’allait pas bien de la fixer comme ça. Alors, il ne dit rien et l’écouta parler, il la fixa dans les yeux et non sa poitrine cette fois-ci. Puis, il se laissa tourner, pour qu’elle mette son chemisier et il sourie mais se retourna aussi vite qu’il ne s’était laissé faire.

- Ne mettez pas votre chemisier, je vais devoir vous l’enlever dans quelques minutes.

Il ne laissa pas parler il jeta son chemisier au loin et sa canne avec. Puis, il posa une main sur la hanche de Lisa et l’embrassa fougueusement. Il ne pouvait faire autrement, il avait envie de les sentir en harmonie et il voulait être proche encore plus proche d’elle. Il continua de l’embrasser et il savait qu’il pouvait se faire refouler à tout moments, mais il s’en fichait pas mal, au moins il aurait tenté sa chance. Elle la fit se rapprocher de lui et l’embrassa dans le cou puis lui attrapa à nouveau les lèvres et la plaqua à son casier, sans la laisser rien faire. Il avait envie d’elle, mais il espérait qu’elle ne le laisserait pas partir.

Elle s'appretait à enfiler son chemisier quand ce dernier vola dans la pièce, alpagué par la canne d'House, qui vola de concert avec le bout de tissu. Et avant même qu'elle n'ai pu dire un mot, sa bouche bée mais aucun son ne sortant elle baissa la tête vers la main qui se posait sur sa hanche, et le temps de la relevé presque aussitôt qu'il l'embrassait encore.
Et à nouveau le noir total, complétement submergée par la soudaineté des choses, elle ne put rien faire, que subir ce délicieux chatiment. Elle avait beau se crier au fond d'elle-même de se resaisir, le giffler pour avoir eu l'outrecuidance d'avoir tant d'audace après avoir prétendu quelques minutes au paravant ne rien avoir ressentit mais une voix bien plus forte, elle, criait profites-en. Et après...3 microsecondes de débat intérieur manichéen, la partie la plus forte l'emporta, après tout la raison du plus fort est toujours la meilleure, mais l'était-elle dans ce cas précis? Conflit de hierarchie, elle était son patron, ne jamais mélanger boulot et vie privée, il pourrait la faire céder sans problème après ça en jouant sur d'éventuels remords ou que sais-je, elle savait aussi quel genre d'homme il pouvait être, mauvais lorsqu'en manque, calculateur, hypocrite et manipulteur, il avait bien vu aussi à l'époque son obstination à ne pas écouter Stacy alors qu'elle ne voulait que son bien. Etait-elle prête à accepter tout ceci sans condition aucune? Elle n'en savait rien, mais la fraction de temps où ses lèvres quittèrent les siennes poour la peau de son cou lui paru durer une éternité et elle ne pu qu'être ravie d'à nouveau le sentir coller à elle, unis par ses lèvres, coincée contre ce casier sans volonté aucune à cet instant précis de se débattre.

House reprit ses baisers contre les lèvres de cette femme qui se donnait à lui. Il avait cru pendant un temps, qu’elle allait le faire partir et le regarder avec ses yeux noirs, qui lui dirait qu’il était fou de faire ça. Seulement, il sentit qu’elle ne le laisserait pas partir aussi facilement. Alors, il continua de l’embrasser et finit par la fixer dan les yeux. Il eu un sourire coquin et resta la fixer un moment dans les yeux. Ils avait qu’elle pouvait prendre son regard comme il était mais ce faire des idées, sur le fait qu’il serait odieux avec elle ensuite. C’est probablement ce qu’il serait, mais il préférait profiter du moment présent et il avança le visage vers celui de Cuddy et ne déposa qu’un léger baiser sur les lèvres de Cuddy et joua avec ses nerfs, en ne l’embrassant pas entièrement, il voulait qu’elle prenne un peu les devant, comme ça il saurait s’elle était prête à passer le pas et aller jusqu’à coucher avec lui, mais le voudrait-elle ?

Il continua de jouer à ce petit jeu, tout en la fixant dans les yeux, il voulait savoir ce qu’elle ressentait et si elle voulait avoir ne serais-ce qu’une aventure avec lui. Pour, lui tout était flou pour le moment, mais il voulait profiter du moment présent et depuis le temps qu’il voulait l’embrasser, cette femme connue depuis des années, il y était enfin parvenu, mais quand serait-il demain ? Pour le moment, il préféra enlever ses pensées de sa tête et continua à l’embrasser à moitié. Même avec ses baisers, il essayait de l’énerver un peu et cette pensée le fit sourire.

A ce moment là de toute manière Cuddy, ou du moins celle qu'il avait connu et supporter jusqu'à présent répondait aux abonnés absents. Non, il n'y avait plus de Cuddy, plus de patronne ni même une voix qui restait en elle, si ce n'est celle qui peu avant lui avait hurler de foncer. Puis après tout, n'était-ce pas ce qu'elle avait voulu depuis quelques moments déjà, refoulant l'idée au plus profond de son esprit parce qu'elle ne prenait son comportement envers elle que comme une simple provocation de plus, elle n'en savait rien, mais une chose était certaine, maintenant qu'elle avait pu savoir ce que celà pouvait donner, goûter ses lèvres, elle ne voudrait pas avoir à faire comme si de rien n'était.
Puis il commença un nouveau jeu, consistant à tester ses nerfs, elle le fixait du regard, toujours sans rien dire, en soutien-gorge au plein milieu des vestiaires, si quelqu'un entrait (même si elle savait pertinnement la porte vérouillée) ou même simplement anticiper ce qu'il voulait vraiment. Valait-il la peine qu'elle se lance, au risque de soufrir? Au pire, une nuit passée de plus ensemble n'allait pas les tuer, et leurs relations le cas échéant après échecs ne changeraient pas vraiment, il n'y aurait plus ce respect entre eux et rien de plus. Plus elle y réfléchissait (à une vitesse ahurrissante d'ailleurs), plus la balance semblait pencher à l'avantage d'un oui, pourquoi ne pas tenter le coup. Et au diable les conséquences, le voir là devant elle, sa fichue barbe de trois jours sur le menton, ses yeux bleus qu'elle fixait toujours, sa taille imposante et les muscles qu'elle pouvait sentir au travers de sa chemise.... Même avec cet air d'homme des cavernes elle ne pouvait que le trouvait plus séduisant. Elle leva la main, hésitante d'abord, puis la déposa sur sa nuque, le tirant à elle pour cette fois-ci obtenir un autre baiser, et pas ces bécoteries à la noix qui avaient eut l'effet escompté, ils avaient mis sa patience à l'épreuve.

House continua de fixer Cuddy dans les yeux, en jouant avec ses lèvres. Le coup des lèvres de la femme qu’il respectait plus que tout au monde, il avait envie d’être en communion avec elle et il espérait qu’elle ne le repousserait pas. Il pensait alors à ses années où ils ne faisaient que ce frôler, ce toucher, sans jamais rien de plus. Toutes ces fois où ils étaient dans la même pièce à se manger du regard, à se dévisager et à prendre soin l’un de l’autre, malgré les problèmes de tous les jours. Ces jours entiers où ils se chamaillaient pour les consultations comme quelques minutes avant toutes ces choses, tous ses chamboulements, tout ce qu’ils étaient en train de vivre l’un avec l’autre. Alors, il sortit de ses pensées et reposa son attention sur Cuddy, pour voir ce qu’elle ressentait et surtout voir si elle allait l’embrasser plus qu’il ne faisait.

Il sentit une main sur sa nuque et elle l’embrassa, elle avait prit l’initiative de prendre le risque d’aller plus loin, ce qui le fit avoir un sourire. Il était contre et il sentait sa poitrine contre son torse, alors à cette idée, il enleva son T-shirt et le lança plus loin, puis il commença à défaire la jupe de Cuddy et il ce dit qu’il n’avait pas fermé la porte, puis si en fait, pendant une seconde, il ce disait qu’il devrait ce décrocher d’elle, amis cette idée lui paru si dur à accepter qu’il ce rendit compte qu’il avait déjà fermé la porte, alors il continua de l’embrasser tout en ouvrant sa jupe.

Plus question de reculer maintenant, pas de retour en arrière, elle était déjà aller trop loin pour faire comme si de rien n'était. Sa respiration se faisait plus rapide, son pouls devait frôlet l'arithmie à présent, mais ce flot d'adrénalie dans ses veines, ce rush d'émotions violentes, comment y résister? A mseure qu'elle le serrait contre elle sa poitrine s'écrasait contre son torse, contact qu'il lui fit retirer d'ailleurs son t-shirt, l'aidant comme elle le pouvait à lui retirer au plus vite avant de revenir à leur posture précédante.
Il était l'heure pour les vpetements de voler dans la pièce, et tandis qu'il s'affarait à ouvrir sa jupe, elle en faisait autant pour son pantalon, se demandant quand même combien de temps il tiendrait debout, dans un tel état et sans sa canne, la perspective de devoir tout stopper parce qu'il aurait mal à la jambe bien que possible devenait presque un obstacle qu'elle préférait éviter en stoppant tout maintenant, mais elle préféra occulter cette pensée pour venir se reconcentrer plutôt sur lui. Et puis un petit bruit sourd se fit entendre dans la pièce silencieuse, le bouton de fere de son jean venait de tomber au sol, maintenant fiché à ses chevilles, comme ne le tarderait pas à faire sa jupe sous peu. Elle n'avait pas besoin de voir ses jambes, elle était là quand on lui avait retiré ses muscles, et elle lui avait déjà fait des piqures pour la douleur, elle espérait simplement lire dans ses yeux que tout allait bien pour lui, rien ne servait qu'il se fasse mal pour ça, après tout, maintenant et à la vue des évenements de toute manière...

House l’embrassait toujours autant, avec passion et il essayait d’ouvrir sa jupe, dans l’empressement, il la laissa d’abord lui enlever son pantalon et quand il tomba au sol, il eu un sourire de satisfaction, ils étaient là tout les deux, deux collègues de travail, deux amis qui devenaient deux amants. A cette pensée, House réussit à ouvrir la jupe de Cuddy et elle tomba aussi comme le pantalon de House. Mais, il la fixa quand elle en fit autant, puis il lui exprima avec ses yeux qu’il allait bien et que peut importe s’il avait mal, il ne renoncerait pas. Il commençait à avoir mal à la jambe, alors ils les retourna et il se retrouva contre le casier, coincé entre ce casier et Cuddy. Il pouvait ainsi reposer un peu sa jambe et en même temps profiter de Lisa.

Alors, il passa une main dans les cheveux de Cuddy et la regarda encore dans les yeux, il voyait l’envie qu’elle avait comme lui de faire l’amour ensemble et surtout ne pas arrêter ce moment qui allait vraiment être sublime. Il reprit ses baisers et descendit jusqu’à son cou et l’embrassa sur la poitrine, pour revenir à ses lèvres.

Une fois à égalité niveau effeuillage de vêtements, les positions cepandant changèrement, il se retrouvait pris en sandwich entre elle et son casier, ou plutot celui à côté du sien, l'autre ouvert à leurs côtés. Elle se doutait bien que s'il avait voulu changer de place avec elle c'est que sa jambe commençait à montrer des signes de fatigue, mais là il pouvait se reposer. Elle sourit alors, les yeux toujours plongés dans les siens, et s'assura de ne plus rester plus longtemps loin de ses lèvres.
A chaque seconde supplémentaire passée contre lui, elle sentait que tout son corps s'émbranlait, ses dernières rétissances cédaient une à une à chque baiser qu'il posait sur sa peau, cette dernière prenant la température du volcan se réveillant maintenant en elle. Penchant la tête sur le côté puis légèrement en arrière quand il enfonça son visage entre ses seins, elle se surpit à se mordre la lèvre pour ne pas avoir à soupirer et éveiller des soupsçons de l'extérieur. Bon sang le contact de ses joues rugeuses sur sa peau la mettait en état de transe sans qu'elle puisse même savoir à quoi l'attribué vraiment, le contact ou le fait qu'il était là à moitié nu devant elle? Peut-être bien les deux, toujours est-il que quand il revint l'embrasser elle laissa ses mains venir enserrées son visage avant de venir sur son cou et continué leur glissade sur ses épaules fortes et imposantes et les bras virils pour finir par aggriper ses hanches et se coller à lui.

House pût se mettre dans la position qu’il voulait, à cause de sa jambe et il la calla comme il fallait, pour ne sentir la douleur et il ce concentra sur Cuddy et ses baisers. Il ce disait quand même qu’ils étaient là pouvant être prit à tout instant, par une personne qui voudrait entrer dans cet endroit. Cette pensée, ajouta de l’adrénaline en lui et il devient encore plus sauvage qu’avant et il sentait sa partenaire tout à fait prête à se donner entièrement à lui, alors il la laissa d’abord l’embrasser et il sentait que toutes ses barrières qu’ils y avaient entre eux quelques minutes auparavant venaient de céder en quelques secondes. Il était heureux, pour la première fois depuis des années et il ne la laisserait plus jamais partir comme il avait pût faire alors que depuis toujours il l’aimait. Il était prêt à tout lui donner et il était surtout prêt à lui prouver à quel point elle compte pour lui.

Il sentit les mains de Lisa contre son visage, puis contre ses épaules et sur son dos, pour finir sur ses hanches. Elle était collée à lui et ce dernier passa ses mains dans le dos de sa partenaire et dégrafa les deux derniers bouts de tissus qui lui restaient. Alors, il sourit en la voyant ainsi sans rien, elle était mise à nue c’était le cas de le dire et il l’embrassa encore, mais sans fermer les yeux il les ouvrit, pour contempler celle qui le faisait perdre la tête, mais cette fois dans un tout autres sens, tout simplement parce qu’il allait enfin franchir un cape, qu’il ne pensait pas possible.

Et quand bien même quelqu'un voudrait entrer, le verrou suffisait à le stopper, il n'y avait pas d'autres entrées, et Cuddy était la directrice, qui irait lui dire quelque chose, elle était la grande patronne ici. Mais il est vrai que comme toute chose qui avait le goût de l'interdit et du danger, celà ne rendait la chose que plus attractive et excitante, et celà va sans dire que nos deux médecins avaient atteints des sommets en matière d'excitaiton. Elle qui devait avoir des airs guindés pouvait se montrer en fait comme toute femme avec un minimum d'envie, une vraie furie. Mais bon, que pouvait-elle y faire, il lui avait toujours fait cet effet, même si jusqu'à présent elle n'avait rien montrer.
Mais bon, pour lemoment personne ne les dérangeait alors ne pas se focaliser sur ce genre de détails quand d'autres venaient de façon plus urgente. Que faire? Oui, elle le savait bien, quand même elle avait déjà fait ça mais là c'était tout de même différant, elle hésitait sur la marche à suivre, devait-elle prendre les devants, ou le laisser faire encore avant de pouvoir prendre le relais? Elle recula alors, quittant à regret ses lèvres mais bon, le souffle court et la respiration halentante.

- Comment en fait?

Elle ne demandait pas le mode d'emploi, celui-là elle le connaissait depuis le temps, mais il n'était pas n'importe qui, et puis rester tout ce temps contre les casiers rendrait surement la suite des choses impossibles s'ils ne trouvaient pas avant comment procéder.

House continuait ses caresses et ses baisers. Il aimait le goût des lèvres de celle qui lui faisait perdre tous se moyens en ce moment même dans cet endroit, des plus étrange pour une première fois, mais il s’en fichait il voulait la prendre là maintenant, sans attendre, alors il continua ses caresse plus douce et plus tendre, quand il sentit qu’elle s’éloignait de lui. Il ne comprit pas tout de suite, mais finalement, il ce dit qu’elle renonçait peut-être à aller plus loin et si c’était le cas, House savait qu’il ne pourrait pas s’en remettre, pas si elle stoppait tout maintenant. Alors, le souffle court, il l’écouta parler et quand elle finit sa phrase, il eu un grand sourire et la fixa dans les yeux, puis partit vers le casier de Cuddy.

- Tu n’as pas une couverture ou quelque chose comme ça.

Il était face au casier de Cuddy et cherchait quelque chose qui pouvait recouvrir le sol, le temps de leur ébats de la journée. Il ne s’était même pas rendu compte qu’il l’a vouvoyait, c’était venu naturellement et d’ailleurs les vous n’étaient plus de circonstances, avec toutes ses émotions. Il continua de fouler dans son casier sans trouver ce qu’il voulait.

Oh ça non, elle ne renonçait pas, mais bon, déjà rien que le lieu était des plus insolites, mais la position verticale entraînait pour eux des complications pour la suite, et pour toutes fois prochaines à venir, à moins de faire ça adossée à une table mais bon, ils n'en étaient pas encore là. Elle partit vers le fond des vestiaires tandis qu'il s'amusait à fouiller son vestiaire, sans y avoir été invité bien évidemment, puis une fois qu'elle eut trouvé ce qu'elle cherchait, elle revint à son casier, lui toujours de dos à chercher de quoi faire. Elle lui tapota donc l'épaule pour qu'il se retourne et montra, triomphant, une couverture replié, il y en avait toujours dans le fond des vestiaires, quand les salles de repos étaient pleines, le vestiaires pouvait occasionnellement servire de dortoir.

- C'est ça que tu cherchais?

Elle aussi n'avait plus dit vous maintenant, il faut dire que vu la situation, continuer à se vouvoyer devenait idiot, et puis même, si on regardait le nombre d'années où ils se connaissaient, on pouvait même penser qu'ils avaient mit le temps, mais il y avait bien sur le fait qu'elle était son employeur et lui son employé, cadre du boulot exigeant le vouvoyement entre patron et salariés. Mais à présent inutile de dire que plus aucun grade ou fonction ne viendrait les déranger.

House continuait de regarder dans le casier de Cuddy, pour essayer de trouver une couverture. Comme il n’en trouvait pas il eu un soupire, parce qu’il ne voulait pas que ça dur trop longtemps ses recherches, alors, il sentit une main sur son épaule et il se tourna, regardant à nouveau le corps de sa partenaire, puis l’écoutant parler et voyant la couverture. Il sourit légèrement et prit la couverture des mains de Lisa et l’embrassa pendant un long moment. Finalement, il se décolla d’elle et déplia la couverture pour la mettre au sol. Une fois fait, lui qui était toujours en caleçon face à cette femme nue, il la regarda et se rapprocha d’elle. Il l’embrasa à nouveau puis décrocha de ses lèvres, même s’il ne le voulait, puis il posa ses mains sur les fesses de Cuddy, en souriant.

- Elles sont vraiment très belle tes fesses.

Il sourit légèrement et l’embrassa à nouveau puis il fixa la couverture et reprit ses baisers dans le cou de Lisa, mais aussi sur sa poitrine et descendit le long de ses jambes, pour remonter et reprendre ses lèvres, ce goût qui depuis quelques minutes était devenu sa drogue. En effet, il n’avait pas prit de pilule depuis le bureau, alors qu’il avait mal et qu’il aurait du prendre, comme d’habitude, mais depuis qu’ils étaient là tout les deux, il n’en avait pas prit. Serait-elle devenue ce qui pourrait le sevrer de la Vicodin ? Ce serait une bonne chose, mais il préféra oublier ça et se concentrer sur elle et l’embrasser à nouveau.

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